Ces dangers sont réel, mais peut fréquent, effectivement, 95% des enfants qui ont étés victimes de prédateurs sexuel ont rencontré ce pédophile dans leurs cercle familiale.
Ce risque existe mais il est encore assez rare.
Le lundi 3 octobre 2011, le tribunal correctionnel de Dunkerque (Nord) a condamné un trentenaire à un an de prison avec sursis et mise à l'épreuve, rapporte La Voix du Nord.
Début août, à Coudekerque-Branche, l’homme avait attiré un jeune garçon de onze ans via Facebook. Après lui avoir fait des propositions sexuelles, il lui avait fixé un rendez-vous en ville, où il a été arrêté
Une chasse aux agresseurs sexuels a été ouverte sur Myspace, et a permis de découvrir 90.000 délinquants sexuels.
Bien sûr, délinquant sexuel ne veut pas dire pédophile, donc une grande partie de ces 90.000 hors la loi ne représente pas de danger pour les enfants.
Ashleigh Hall, une jeune anglaise de 17 ans a été tuée en octobre 2009.
Son assassin l'avais rencontré par Facebook, il avait réussi à convaincre la jeune femme qu'il était un adolescent ordinaire. Suite a cette histoire, de nombreux regroupements ont étés fondés afin de demander au réseau social Facebook d'ajouter un bouton permettant l'appelle de la police en cas de contact d'adulte malveillant envers un adolescent mais cela n’a pas encore été fait.Adopté par près de 5 millions d’adolescents au Royaume Uni, Facebook n’a pas mis en place le bouton, et le CEOP a renouvelé des reproches.
« En 2009, 267 avertissements de tels faits sur Facebook nous ont été signalés. Cependant, 81% d’entre eux ont été faits par des internautes contraints de se rendre sur d’autres sites pour nous avertir, et c’est inacceptable ».
Même si de telles accusations assez médiatisées qui déplaisent et nuisent au réseau social créé par Mark Zuckerberg, elles restent toutefois inoffensives face à un article publié par le Daily Mail.
Intitulé « Je me suis fait passer pour une jeune fille de 14 ans sur Facebook. Ce qui suit va vous révolter », l’article se voit désormais privé du mot « Facebook » dans son titre. Sauf que l’adresse de la page web contient encore et toujours le nom du réseau social à l’heure actuelle.
De plus en plus d'enfants vont sur des réseaux sociaux, parmi eux, sept pour cent ont étaient victime d'harcèlement de la part d'autres enfants (souvent du même âge).
Le cyber intimidateur ou cyber agresseurs ne perçoivent pas les réactions de leurs victimes, ce qui conduit parfois à des débordements...
Partit d'une blague on peut arriver à pousser une autre personne et plus particulièrement un enfant à faire une dépression ou a se suicider.
L’empathie du cyber agresseurs est inexistante car il ne voit pas directement son interlocuteur car celui-ci n’est pas en mesure de saisir les conséquences de ses gestes ou bien de ressentir du remords ou de la compassion envers elles.
Le harcèlement prend parfois des tournures dramatiques :
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